L'Organisation météorologique mondiale, fondée en 1950, a pour but de promouvoir la coopération internationale, en se concentrant sur le climat, la géographie et l'hydrologie.

Tout au long de l'histoire récente, des pics d'émissions de gaz à effet de serre ont été enregistrés. On a prédit qu'ils auraient des effets catastrophiques sur la planète ; à mesure que la glace fondra et que le niveau de la mer augmentera, les îles et les territoires seront engloutis, créant une crise de réfugiés climatiques. Ayant déjà fait l'expérience de ces flux migratoires en Europe, de nombreuses délégations ont une connaissance de première main des problèmes qu'ils causent, il est donc essentiel de prévoir et de prévenir ces phénomènes. En outre, les conséquences possibles de ces émissions excessives pourraient inclure des perturbations telles que des catastrophes naturelles, créant un sentiment de danger permanent où que l'on se trouve. Cette transition vers une économie neutre en carbone est essentielle pour la survie de l'humanité et de la planète elle-même. 

La crainte pour l'économie fait que de nombreuses grandes nations hésitent à adopter et à investir dans un changement aussi radical. Cependant, en raison de la crise COVID-19, l'économie mondiale est déjà menacée. Pour la relancer, les nations devraient être incitées à investir dans la direction de sociétés renouvelables. 

Le vent fait voyager la pollution. En effet, malgré les efforts de certaines nations pour passer à une économie verte, la pollution dans d'autres pays touche tout le monde, à cause du vent. Ainsi, il est de la responsabilité de chacun de devenir neutre en carbone. Pour s'en assurer, il faudrait peut-être mettre en place des sanctions pour ceux qui ne respectent pas les accords et les traités.

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TRADUIT PAR: Maxine TROWBRIDGE